Façade de l'école de natation, rue du Printemps (actuelle rue Gabriel Péri)
Façade de l'école de natation, rue du Printemps (actuelle rue Gabriel Péri)
L'école de natation est inaugurée en 1904 sous le mandat du maire de Tourcoing Gustave Dron.
Elle est l’aboutissement d’un projet de construction engagé dès 1891 sous le mandat du maire précédent, Victor Hassebroucq (1881-1899).
Depuis 1857, la mairie de Tourcoing réfléchit à la construction d’un établissement de bains, ouvert aux classes populaires, car les préoccupations hygiénistes sont de plus en plus fortes. Le corps médical tourquennois préconise pour la population « dont la plus grande partie du temps est vécue dans une atmosphère de graisses, de poussières, de produits tinctoriaux » l’usage de l’eau en « application externe ». (Extraits d’une lettre envoyée au conseil municipal du 15 novembre 1898, Archives municipales de Tourcoing M1F1).
La nécessité d’une école de natation annexe est également un fait acquis à la fin du siècle, car la natation est alors perçue comme un exercice hygiéniste et utilitariste.
L’acquisition d’un terrain le 16 février 1891 rue du Printemps (actuelle rue Gabriel Péri) permet la construction de l’établissement de bains dans la continuité du Bureau de Bienfaisance (visible au fond à gauche).
Elle est l’aboutissement d’un projet de construction engagé dès 1891 sous le mandat du maire précédent, Victor Hassebroucq (1881-1899).
Depuis 1857, la mairie de Tourcoing réfléchit à la construction d’un établissement de bains, ouvert aux classes populaires, car les préoccupations hygiénistes sont de plus en plus fortes. Le corps médical tourquennois préconise pour la population « dont la plus grande partie du temps est vécue dans une atmosphère de graisses, de poussières, de produits tinctoriaux » l’usage de l’eau en « application externe ». (Extraits d’une lettre envoyée au conseil municipal du 15 novembre 1898, Archives municipales de Tourcoing M1F1).
La nécessité d’une école de natation annexe est également un fait acquis à la fin du siècle, car la natation est alors perçue comme un exercice hygiéniste et utilitariste.
L’acquisition d’un terrain le 16 février 1891 rue du Printemps (actuelle rue Gabriel Péri) permet la construction de l’établissement de bains dans la continuité du Bureau de Bienfaisance (visible au fond à gauche).