Autrefois rue Notre-Dame, elle ne mesurait pas plus de sept mètres de large....
En 1886, on décide de l’élargir et de la prolonger jusqu’à la place Sébastopol. L’élargissement de la voirie permet la circulation du tramway qui relie Tourcoing à Roubaix.
Le 20 juillet 1894, la rue est dénommée rue Carnot en hommage à Sadi Carnot (1837-1894), Président de la République assassiné par l’anarchiste Caserio Lyon.
A partir des années 1890, cette rue devient « la rue des banques » avec l’installation de la Banque de France dans un hôtel particulier (aujourd’hui disparu). D’autres établissements suivent : la banque Verley–Decroix, la banque Scalbert–Dupont, le Crédit agricole, le Crédit Commercial de France.
Toutes les maisons à gauche et à droite n'existent plus aujourd'hui et ont fait place au centre commercial Saint-Christophe et au centre du Général de Gaulle.
Sources :
JEAN-CHRISTOPHE, Si les rues de Tourcoing m’étaient contées…, Imprimerie George Frères, Tourcoing, 1978.
Au fil des rues, Histoire et origine des rues de Tourcoing, ed. Ravet-Anceau, Villeneuve d’Ascq, 2007.
En 1886, on décide de l’élargir et de la prolonger jusqu’à la place Sébastopol. L’élargissement de la voirie permet la circulation du tramway qui relie Tourcoing à Roubaix.
Le 20 juillet 1894, la rue est dénommée rue Carnot en hommage à Sadi Carnot (1837-1894), Président de la République assassiné par l’anarchiste Caserio Lyon.
A partir des années 1890, cette rue devient « la rue des banques » avec l’installation de la Banque de France dans un hôtel particulier (aujourd’hui disparu). D’autres établissements suivent : la banque Verley–Decroix, la banque Scalbert–Dupont, le Crédit agricole, le Crédit Commercial de France.
Toutes les maisons à gauche et à droite n'existent plus aujourd'hui et ont fait place au centre commercial Saint-Christophe et au centre du Général de Gaulle.
Sources :
JEAN-CHRISTOPHE, Si les rues de Tourcoing m’étaient contées…, Imprimerie George Frères, Tourcoing, 1978.
Au fil des rues, Histoire et origine des rues de Tourcoing, ed. Ravet-Anceau, Villeneuve d’Ascq, 2007.