Cette ferme se veut « un modèle » du point de vue sanitaire. Les bêtes sont nourries avec du tourteau de lin ou des résidus de brasserie, malgré les surcoûts entraînés. 140 vaches produisent 2000 litres de lait, recueillis mécaniquement et pasteurisés ensuite. C’est ensuite l’administration des Hospices qui en assure la distribution aux nourrissons, malades et vieillards indigents à travers treize dépôts répartis en ville (écoles maternelles, crèches, hôpital, hospices et Bureau de bienfaisance).