On distingue sur cette carte postale la façade de l’Hôtel du cygne, au n°18, dont l’existence est attestée dès 1593.
Le cartulaire de la seigneurie des Poutrains décrit un : « manoir à usance d’hostellerie, gysant sur le marché dudit Tourcoing où pend pour enseigne « le CYGNE ». Au 19e siècle, les ouvriers au chômage et les mendiants s’y rassemblaient devant la porte : on les appelait par ironie « les fileurs du Cygne ». Vers 1850, tous les jeudis à midi, s’ouvrait en face de cet hôtel le marché aux grains. Pour l’ouvrir le Carillon jouait l’air « Vive Tourcoing ».
Sources :
JEAN-CHRISTOPHE, Si les rues de Tourcoing m’étaient contées…, Imprimerie George Frères, Tourcoing, 1978.
Le cartulaire de la seigneurie des Poutrains décrit un : « manoir à usance d’hostellerie, gysant sur le marché dudit Tourcoing où pend pour enseigne « le CYGNE ». Au 19e siècle, les ouvriers au chômage et les mendiants s’y rassemblaient devant la porte : on les appelait par ironie « les fileurs du Cygne ». Vers 1850, tous les jeudis à midi, s’ouvrait en face de cet hôtel le marché aux grains. Pour l’ouvrir le Carillon jouait l’air « Vive Tourcoing ».
Sources :
JEAN-CHRISTOPHE, Si les rues de Tourcoing m’étaient contées…, Imprimerie George Frères, Tourcoing, 1978.